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Mon vélo dans l'avion: préparer et emballer son vélo

Mon vélo dans l'avion: préparer et emballer son vélo

Mon vélo dans l'avion: préparer et emballer son vélo

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Mettre son vélo dans l’avion n’est pas chose simple. Mais c’est très formateur: vous devrez apprendre à le démonter et à le remonter…
Vous avez commandé votre billet d’avion et enregistré votre vélo comme bagage. Il va falloir maintenant préparer et emballer votre vélo. En matière d’emballage, la règle est qu’il n’y a pas de règle générale et précise. Tout dépend de la compagnie choisie. Autant dire qu’il est primordial de bien se renseigner auparavant pour éviter les mauvaises surprises.

A vos outils

Une chose est sûre, il va falloir monter et démonter. Pour préparer le transport du vélo en avion, les compagnies demandent presque toujours d’enlever les pédales, de dégonfler les pneus, de démonter la roue avant pour la fixer au cadre, de fixer le guidon et de placer le vélo dans un emballage spécial, comme un carton, un plastique résistant, ou mieux encore, une valise spéciale.  N’oubliez pas les outils (et d’apprendre à vous en servir)!
Avez-vous déjà transporté votre vélo en avion? Racontez-nous votre expérience.

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Commentaires (6)

  • Bonjour
    Je voyage régulièrement avec mes 2 amies cyclistes et nous devons avouer que c’est la croix et la bannière. Toutes les compagnies ne sont pas « Bike Friendly »… certaines si on respecte le fameux 158 cm2 considèrent le carton comme notre bagage. D’autres plus « françaises » vous ferons obligatoirement payer la franchise « bagage vélo » (50€aller / 50€ retour. Ils ne font pas la différence entre les vélos qui sont démontables (course, fixie) avec les gros vélos qui vont en effet dans les cartons vélos (175 x 21,5 x 86 cm). Voici d’ailleurs un site qui met en lumière toute cette réalité aérienne par compagnies. http://www.skyscanner.fr/actualites/emmenez-votre-velo-en-avion-tous-les-couts-expliques
    Un conseil, achetez votre vélo en fonction de ces paramètres.
    Et bonne route !

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  • Ava

    Oui, vous avez raison Silvi! C’est un sujet souvent abordé également sur la page Facebook de Warmshower.org, notamment, et où tous les avis vont bon train, tant les compagnies sont ambiguës et changent d’avis comme de chambre à air…
    Il m’est arrivé de partir deux, trois fois pour une même destination et d’avoir un traitement différent à chaque fois, et pas toujours concordant avec les explications préalables…
    j’ajoute qu’il y a une chose qu’il ne faut pas oublier: sa pompe à vélo… Puisqu’à l’arrivée, il vous faudra regonfler vos pneus… Une de mes amies s’est retrouvé dans la mouise: elle a récupéré son vélo, mais pas ses sacoches, égarées à la sortie de la soute. Et elle n’avait pas sa pompe avec elle…

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  • Petrement Paloma

    Avec un peu d’entraînement et de systématique, on peut démonter son velo en 10 minutes. Personnellement, je le place dans une housse de protection que j’ai équipée de velcros pour pouvoir la fermer. Repliée, elle ne prend guère plus de place qu’un KWay et peut donc être transportee pendant le voyage à velo. Le carton, c’est bien, mais s’en procurer un à l’étranger et l’amener à velo à l’aéroport, c’est mission presque impossible… Et aucune compagnie n’a jamais refusé mon velo dans sa housse. Attention, si vous avez des freins hydrauliques, retirez les patins et fixer le mécanisme au cadre!

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    • Merci Paloma pour ce partage. Nombreuses de nos lectrices rechignent à acheter une housse, en raison du coût, et du faible usage qu’elles en font. Mais je vous le concède: c’est le plus pratique, le plus sûr et rassurant.

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  • Audi

    Moi j’ai confectionné ma housse de vélo à partir de grands sacs de riz. J’en avais 2. Je les ai décousus et les ai réassemblés en les recousant comme je voulais. J’en suis très contente. J’ai effectué plusieurs voyages en avion depuis.

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