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Cyclotourisme ou vélo de route: Alice navigue au gré de ses envies!

Cyclotourisme ou vélo de route: Alice navigue au gré de ses envies!

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Le vélo-travail pour Alice c’est une façon de se réveiller en douceur. Pas de compétition pour elle mais des parcours plus intensifs les uns que les autres. Et puis surtout, une envie continue de se dépasser! 

« Celui-là, je l’ai monté au mental car mes jambes ne répondaient plus… »


J’utilise le vélo pour 20km quotidiennement afin de me rendre au travail, car j’ai la chance de pouvoir prendre ma douche en arrivant au travail (heureusement pour les collègues !). C’est pour moi une parfaite façon de me réveiller en douceur. Le soir, cela fait une très bonne coupure entre la phase professionnelle et le retour à la vie perso. Je fais également du cyclotourisme, avec un vélo vintage qui a 30 ans ! Cette année j’ai parcouru Paris-Londres ainsi que tous les bords de Loire de Nevers à la Baule. Le cyclotourisme est une excellente façon de laisser son esprit rêver et naviguer au gré de ses envies. J’adore !
Mon vélo de route me permet quant à lui de m’entrainer le week-end et de gravir quelques cols pendant les vacances. Je le pratique pour me pousser mentalement et physiquement. Sur celui là, pas le temps de laisser l’esprit s’évader, je me concentre sur la route!


Mon meilleur souvenir est celui de l’ascension du col d’Izoard fdans les hautes Alpes, au départ de Briançon. Le col le plus long et le plus dur que j’ai gravi jusqu’à présent. Celui la, je l’ai monté au mental, mes jambes ne répondaient plus, mais j’ai résisté et n’ai pas mis pied à terre. J’étais accompagnée, comme tous les cyclistes d’ailleurs, de centaines de mouches (qui ne piquaient pas heureusement), qui entraient dans mon nez, dans mes oreilles, se posaient sur mes bras. C’était un cauchemar. Ca peut paraitre paradoxal de dire que c’était un cauchemar et en même temps mon meilleur souvenir, mais l’arrivée en haut était une telle satisfaction pour le moral et pour les yeux, que je ne regrette en rien la galère que ça a été de monter ce col.


Mon plus grand défi était les bords de Loire à vélo. 750km que je suis partie faire seule, en autonomie totale. Je n’avais jamais fait de distance aussi longue, seule et chargée, sans avoir planifié où j’allais dormir ni combien de kilomètres j’allais faire par jour. Le résultat est que j’ai passé un des meilleurs moments de ma vie, et que j’étais dans une forme comme j’ai rarement été. Je suis arrivée à la Baule avec deux jours d’avance sur le pseudo planning que j’avais envisagé. Un vrai régal pour le corps et pour la tête!


A velo, je ne partirai jamais sans…. mon casque qui m’a déjà sauvé la vie il y a quelques années. Ca n’était pas en vélo mais à roller (mais c’est le même casque :p) . J’ai chuté alors que nous roulions en ligne à 5 et les 2 personnes derrière moi me sont tombées dessus. Le casque s’est fendu en 2. Je n’ose pas imaginer ce qui se serait passé si je n’avais pas eu de casque. Donc, que je parte pour 500 mètres ou pour 700 km, mon casque est attaché sur ma tête !


Pour celles qui hésiteraient encore à s’y mettre parce qu’elles ont peur d’avoir mal aux fesses, je vous dirais de ne pas vous inquiéter, on s’y fait 🙂
Et peu importe la distance qu’on parcourt, le dénivelé qu’on fait, la vitesse à laquelle on va, tout ce qui compte c’est de se faire plaisir. Pour ma part je ne fais pas de courses, je ne pratique pas la compétition car je n’aime pas avoir la pression en sport. On peut pratiquer ce sport, le pratiquer souvent et sous tout un tas de formes différentes, alors n’hésitez plus !


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Commentaires (2)

  • Isabelle

    Hello,
    J’aimerais aussi me lancer dans le cyclo-tourisme … car avec mon vélo – bon vélo mais lourd quand même avec ses 24 kg), ça me limite à 80 km.
    Je vois sur votre page Facebook que vous parlez de vélos adaptés à la morphologie des femmes. Quelle marque le propose ? J’ai demandé à deux vélocistes, ici, en Belgique, et ils me disent que ce sont les mêmes vélos que ceux pour les hommes.
    Merci d’avance,
    Isabelle

    répondre
  • Anonyme

    Vivement l’été prochain et la route le long du Danube jusque Budapest

    répondre

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