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La préparation d'une cyclosportive longue distance

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La préparation d'une cyclosportive longue distance

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Une participation à une épreuve cyclosportive longue distance comme l’Étape du Tour ne s’improvise pas.

Et vous, combien de kilomètres faites-vous pour préparer une cyclosportive longue distance ?
Une participation à une épreuve cyclosportive longue distance ne s’improvise pas.  On pense bien sûr à des cyclosportives telles que l’Étape du Tour où la préparation physique et mentale fait toute la différence.
En octobre 2017, on apprend que cette cyclo de renomée, l’EDT, qui a lieu en juillet 2018 est déjà SOLD OUT! Pour avoir un dossard, il faut des relations dans le monde du vélo! Merci RAPHA.

L’entraînement à la cyclosportive longue distance

Pour s’entraîner à une cyclosportive longue distance, l’entraînement doit comporter une préparation spécifique longue et méthodique indispensable pour aller jusqu’au bout, tout en ayant la sensation de maîtriser les choses.
Ce type de course exige un entraînement comprenant de longues heures de selle et des séances spécifiques optimisant le développement de l’endurance.
Enfin, d’un point de vue symbolique, cette préparation fait le plus grand bien. Elle permet de se mettre en scène, de se projeter.

Se préparer à une cyclo longue distance

Découvrez quelques conseils pour préparer votre cyclosportive longue distance

Évacuer la pression

En premier lieu, il est indispensable de faire baisser la pression. Le cycliste amateur pratique le vélo pour se faire plaisir avant tout. Et si le stress indique clairement qu’on prend conscience de la difficulté de l’épreuve et des risques, il faut avant tout focaliser l’attention sur la chance qu’on a à participer à un tel challenge.
Restez raisonnable dans le défi. Il serait malhonnête – ou peu professionnel – de laisser penser qu’on peut réussir ce type d’épreuve sans une solide préparation. Certes, le sportif est avide d’exploit et de démesure. Toutefois, il ne doit pas se faire au détriment de la santé et de l’intégrité physique du sportif.

Prendre des risques tout en conservant le contrôle

Ce premier point nous conduit à nous interroger sur ce qu’on attend d’une pratique physique. Excès, outrance ou pratique maîtrisée, accomplissement, dépassement.
La performance du sportif est possible parce qu’il y a un équilibre entre potentiel physique de l’athlète et exigences de l’épreuve à laquelle il participe. Une fois cet équilibre établi, il est possible d’aller plus loin, de dépasser le cap, de sortir de sa zone de confort.
Se dépasser, c’est créer du déséquilibre. Cependant, quand le déséquilibre est trop important, on échoue. Même si l’échec peut enrichir l’expérience du sportif, il ne doit pas le mettre en danger.
Enfin, le propre du sport, c’est d’être maître des éléments et non pas de se faire dominer. La performance et l’exploit sont à ce prix.
Il ne faut pas se mentir, pour réussir ce type d’épreuve, il faut avoir de nombreux kilomètres dans les jambes. Entre 5000 et 8000 kilomètres au minimum.

La posture sur le vélo

Par exemple, sur l’Etape du Tour, le cycliste passe 10 à 12 heures assis sur la selle. Non seulement, il faut être habitué à cet appui prolongé mais, aussi, il faut tenir compte des mains sur le guidon et du maintien du dos tout au long de ces longues heures de selle.

Quelques données physiologiques pour bien comprendre

Un entraînement long et régulier est indispensable. Il est nécessaire pour provoquer les adaptations physiologiques utiles à la réalisation d’un effort de longue durée. Pour le dire simplement, sans ces longues heures passées assis sur la selle, l’organisme n’est en condition optimum.

Principe de base : sans activité régulière il n’y a pas d’adaptation physiologique

Les muscles – les fibres musculaires –  ne peuvent s’adapter que s’ils sont sollicités. Sans un entraînement régulier les qualités d’endurance ne peuvent se développer. C’est un principe de base.
La durée du programme d’entraînement doit être suffisante pour développer ces qualités. Il faut compter au moins 5 à 6 semaines d’entraînement pour stabiliser les réactions. Mais, il faut savoir qu’une rupture d’une semaine dans le programme d’entraînement provoque une désadaptation immédiate. Il faut, à nouveau, 4 semaines pour retrouver les valeurs initiales.
Il faut donc, sans cesse, entretenir l’endurance. Je vous invite à lire mon article sur l’endurance à vélo. Au plaisir d’échanger avec vous. Bien à vélo

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