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Test exhaustif du VAE Electra VALE Go! sur 10 jours

Test exhaustif du VAE Electra VALE Go! sur 10 jours

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Mais qu’a-t-il vraiment sous les pédales ce VAE Electra VALE Go! ? C’est ce que j’ai cherché à savoir durant les 10 jours où on me l’a confié. J’ai roulé 350 kilomètres avec, ce qui me donne un excellent aperçu pour vous le présenter en détails.

Je vous dévoile aujourd’hui tous ses arguments dans cet essai complet. Et si vous ne connaissiez pas encore Electra, c’est l’occasion de découvrir ce fabricant pas comme les autres.

Qui est ELECTRA ?

En 1993, Electra a vu le jour dans la petite communauté de surfeurs de Leucadia, en Californie.

Attirés par le Sud de la Californie pour s’amuser et surfer, inspirés par le design mythique d’autrefois, Benno Baenziger et Jeano Erforth ont ressuscité le Cruiser classique sur un marché devenu stagnant et, honnêtement, un peu trop prétentieux.

Le Swing

C’est ainsi qu’Electra a rendu la pratique du vélo à nouveau plus fun, permettant aux Américains de retourner à leur bonne vieille passion.

De l’eau a coulé sous les ponts depuis, mais ils restent fidèles à leurs valeurs originelles, en associant créativité, innovation, conception et sens du détail pour créer les vélos les plus confortables possibles.

Electra est entré sur le marché des VAE en 2013 avec le Townie Go! Un vélo fluide, amusant et intuitif doté d’un moteur d’assistance au pédalage qui offrait toujours une puissance supplémentaire en cas de besoin. Il suffisait simplement d’enfourcher le Go! et de rouler. Ce modèle a remporté un certain nombre de récompenses décernées aux VAE.

Le design du VAE Electra VALE Go!

Je connais les vélos Electra depuis longtemps, car je passe régulièrement mes vacances dans les Landes, et notamment du côté d’Hossegor, le « Hawaï » du surf en Europe, où j’en vois toujours plein. Les surfeurs ont même un système sur leur modèle beach-cruiser pour y fixer directement leur planche.

 

 
 
 
 
 
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Vous avez dit cruiser ? Nous disons beach cruiser ! 🤘 😎 . . . #beachcruiser #electra #electrabike #waytoroll #ilovemybike #bikeinstagram #beach #surf

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J’ai toujours adoré ce « style californien » et son chouette look. Pouvoir rouler sur le VALE Go!, un cruiser urbanisé, était pour moi une belle occasion à ne pas manquer. Le test était d’ailleurs annoncé dans le mag.  

Je me sentais déjà un peu comme en vacances, même en allant au travail.

Sa belle peinture brillante et ce vert émeraude éclatant du modèle en prêt, m’ont fait immédiatement craquer. Il est sobre, élégant et très classe à la fois.

Ce VAE est magnifique.

Pour une fois que j’ai en ma possession un vélo avec le cadre en col de cygne, je vais enfin pouvoir rouler en robe. Chouette!

La finition du VAE Electra VALE Go!

Un soin particulier a été apporté au montage, notamment avec le passage des câbles qui passent en interne.

Le moteur, qui se situe au niveau du pédalier, s’intègre bien dans le cadre, et ne fait pas massif.

L’assistance du VAE Electra VALE Go!

Le moteur

Electra a choisi le moteur Bosch Active Line Plus de 250 watts.

Ce modèle est présenté comme discret, fluide et fiable. Il dispose de 4 modes d’assistance, limité à 25 km/h:

  • Eco: assistance efficace permettant de maximiser l’efficacité pour une autonomie maximale. Sur du plat, c’est vraiment une très bonne option, que j’ai appréciée durant plusieurs dizaines de km non-stop.
  • Tour: assistance constante pour des tours avec une autonomie importante. Le mode que j’ai le plus utilisé. Il passe partout, et le pédalage est super agréable.
  • Sport: puissante assistance à usage universel, aussi bien pour la conduite sportive que pour les trajets rapides domicile-travail en ville. Très pratique lors de mes retours du taf avec un vent de face à décorner les bœufs les 29 et 30 juin 2020.
  • Turbo: Assistance directe et puissante jusque dans les fréquences de pédalage les plus élevées, pour une conduite très sportive. Indispensable pour les très forts dénivelés. La Vallée aux Loups par où je passe sur mon trajet de retour du taf, était grimpée sans peine par le moteur et sans effort pour mes jambes.

D’une manière générale, quelque soit le mode, je trouve l’assistance progressive et donc le comportement au pédalage assez naturel. L’assistance s’adapte bien à la fréquence de pédalage, c’est harmonieux.

Le fabricant allemand a toujours eu une excellente réputation. Cet essai m’a permis de découvrir ce moteur, puisque c’est le premier VAE que l’on me confie qui en est équipé.

Le tableau de bord

L’écran Bosch Kiox est un tout petit ordinateur de bord en couleurs mais super lisible, y compris en plein soleil.

Il est possible de connecter ce mini-ordinateur de bord au smartphone en Bluetooth Low Energy (BLE) avec l’application Bosch eBike Connect. Ainsi, on peut l’utiliser pour enregistrer différentes sortes d’informations de chaque activité. L’application exploite la fonction GPS du smartphone pour enregistrer la trace du parcours simultanément.

Il est possible de connecter également un capteur cardio (je n’ai pas testé cette fonctionnalité).

C’est là encore un très bonne surprise d’un produit Bosch que je découvre pour cet essai.

Kiox est hyper facile et intuitif au niveau de la navigation des menus. J’ai aisément trouvé comment accéder aux réglages et connecter mon iPhone.

J’ai même pu tester la mise à jour du firmware, afin de bénéficier des toutes dernières fonctionnalités de l’application et du site. En une heure, l’application Bosch eBike Connect a téléchargé et transféré l’update, puis l’installation s’est finalisée en rallumant tout simplement Kiox:

La connectivité

Grace à Kiox et l’application Bosch eBike Connect, vous bénéficiez d’un suivi détaillé de vos activités.

Notez que l’objectif de mes tests n’étant pas de passer en détails les fonctionnalités mises à disposition par Bosch, je vous présente ici un rapide aperçu. Electra n’intervenant pas dans les options proposées par Bosch.

En utilisant conjointement le VAE et le smartphone, vous pourrez exploiter sur l’application ou sur le site web https://www.ebike-connect.com, votre historique et des statistiques variées.

Exemple d’informations sur une sortie via l’application:

Exemple d’informations d’une activité sur le site web:

La création de parcours a été ajoutée fin juin:

L’outil est assez simple d’utilisation, et propose des variantes de circuits pour un même trajet.

Option de sécurité avec Kiox

La fonction « Lock » payante de Bosch, permet de verrouiller le vélo avec Kiox. C’est à dire que le moteur devient inutilisable sans ce mini ordinateur de bord une fois retiré.

La batterie

La batterie Bosch PowerTube 500, est intégrée dans le cadre. Il est possible d’y accéder, mais n’ayant pas la clé pour ouvrir la trappe, je n’ai pas pu y regarder de plus près et tester la manœuvre pour la retirer.

Le chargeur inclus se connecte au dessus du pédalier. Il n’y a pas de voyant sur le chargeur, c’est Kyox qui fournit les infos de recharge, et il s’éteint lorsque votre batterie est chargée à 100%.

Déchargée de 75% environs, j’ai mesuré un peu plus de 3 heures pour la recharger à 100%. Je ne suis jamais allée en dessous de 25% de capacité restante. Le constructeur indique que 4,5 heures sont nécessaires pour une recharge complète.

L’autonomie de la batterie

Elle est excellente.

Voici en détails ce que j’ai pu faire durant les 10 jours de tests et 352 km.

Grâce à toutes les informations du site ebike-connect, on mesure assez bien l’impact de chaque type de mode d’assistance. J’ai trouvé très intéressant d’avoir la répartition puissance musculaire et assistance moteur.

Ayez à l’esprit que de nombreux facteurs différents impactent sur l’autonomie: le niveau d’assistance, le style de conduite, la résistance au vent, le poids de la personne, le chargement transporté, la pression des pneus et naturellement le profil du terrain.

Je suis une cycliste légère, avec un coup de pédale pas trop mauvais et une conduite paisible.

Le mode « Eco » à 100% du cumul d’une charge complète, permettrait de pousser l’assistance jusqu’à 130km sur un profil plat. Je suis quasiment certaine que c’est largement faisable sans problème. Le système évaluait précisément l’autonomie restante en temps réel et en fonction du mode sélectionné.

Le confort du VAE Electra VALE Go!

Rouler en Electra est différent d’un vélo à géométrie classique.

En effet, le constructeur indique que la technologie brevetée « Flat foot » , permet « d’adopter une position plus redressée et détendue avec une extension adéquate des jambes pour pouvoir s’arrêter les deux pieds fermement posés au sol quand vous le voulez » .

C’est à dire que la Flat Foot Technology permet d’adopter une position efficace et détendue. À la différence d’un vélo traditionnel, vous pouvez tenir le guidon sans devoir courber le dos. Ensuite, l’angle relâché du tube de selle ouvre le poste de pilotage. Ainsi, les bras adoptent une position plus détendue et les tensions au niveau du dos, de la nuque et des poignets s’amenuisent. Enfin, cette géométrie permet de vous arrêter à chaque fois avec les deux pieds fermement posés sur le sol.

J’avoue, j’étais intriguée. Cela remettait en question mes habitudes par rapport à mes vélos traditionnels. Mais très vite, je découvre le confort de pouvoir rester assise à l’arrêt, et redémarrer sans devoir me remettre en selle comme avec mes vélos classiques, tout en conservant une extension longue des jambes pour le pédalage:

Une autre manière de pédaler que je vais adopter en quelques kilomètres seulement. C’est bluffant!

Le très grand confort de ce VAE est assuré par les excellents gros pneus Schwalbe Super Moto X. Ils sont doublement renforcés contre les crevaisons et sont à l’aise aussi bien sur la route que sur les chemins. La tige de selle suspendue, avec un débattement de 40 mm, vient compléter la stratégie d’Electra pour optimiser le confort du VALE Go! .

Quant à la selle, une fois correctement réglée (recul et angle), elle s’est révélée franchement confortable. Que je sois en robe, en short ou en jean, quelque soit la longueur des parcours, les 350 km avalés n’ont pas du tout été une contrainte pour mon séant. Ceci dit, l’appréciation du confort d’une selle est propre à chaque personne…

Enfin, les poignées ergonomiques viennent compléter la panoplie jusqu’au bout des doigts.

On est donc au guidon d’un véritable fauteuil.

Je n’ai pas senti les pavés de la capitale, ni certaines routes au bitume chaotique, et pas plus que les ondulations des chemins pas trop cassants de la forêt domaniale à côté de chez moi.

Le comportement sur la route du VAE Electra VALE Go!

Habitant à Vélizy-Villacoublay, mon terrain de jeu est très varié pour essayer les vélos. Je suis aux portes de la Vallée de Chevreuse et ses somptueuses routes. Le tissu urbain de ma banlieue est dense et ondulé. J’ai à quelques centaines de mètres de chez moi, la grande forêt domaniale de Meudon et Versailles. Enfin, je ne suis qu’à 22/25 km, de Paris selon l’arrondissement où je me rends. Bref, les conditions sont idéales pour tester tous les types de trajets.

J’ai donc emprunté des pistes cyclables, des routes, de toute sortes, des passerelles et des chemins avec le VAE.

Ce vélo est très facile à prendre en main, et la Flat Foot Technology sera rassurante pour les néophytes.

Il est maniable, mais demande tout de même de ne pas prendre des virages super serrés. Un demi-tour nécessite plus de largeur qu’un vélo traditionnel. Avec un peu d’habitude on arrive pas trop mal à passer les systèmes anti-scooters des entrées/sorties de pistes cyclables (si vous connaissez la technique du freiner-rouler, cela vous aidera).

Les freins sont puissants et excellents, il garde sa trajectoire en pleine descente avec un freinage soutenu. Le freinage se dose avec précision et tout en souplesse si besoin. Le vélo que j’ai eu en prêt, qui est modèle de 2019, pèse tout de même 26 kg, il ne faut donc pas mégoter sur le système de freinage qui doit impérativement être performant. Ce qui est bien le cas pour notre beau VAE.

Côté nervosité, c’est plutôt un cruiser. Il ne faut donc pas s’attendre à démarrer sur les chapeaux de roues. Il n’est pas fait pour ça. Le VALE Go! est conçu pour rouler à la cool, mais de manière efficace. Ceci dit, si vous mettez le mode turbo et que vous avez enclenché le pignon adapté de la cassette 9 vitesses, il peut démarrer assez vite à l’arrêt.

Je n’ai pas noté de sensation de guidonage au démarrage et ni dans les relances, malgré sa longueur et son poids.

Son large guidon peut parfois être un poil gênant pour se faufiler entre les voitures, mais ce n’est pas le vélo le plus pénalisé à ce niveau que j’ai eu l’occasion de tester.

Le piloter d’une main nonchalante est facile grâce à la position relevée et à l’assistance.

Bref, son comportement routier est excellent et sécurisant.

La manipulation du VAE Electra VALE Go!

Malgré son poids (26kg pour le modèle en test), il n’est pas si difficile à soulever en le prenant au dessus du pédalier.

Le monter/descendre d’un demi étage pour accéder au hall de mon immeuble, ne m’a pas posé de souci, vu son encombrement conséquent.

La béquille robuste permet de le parquer partout, le vélo est bien soutenu et maintenu en place.

Les équipements de série du VAE Electra VALE Go!

  • Pédales larges et avec un grip pas toujours suffisant, selon les semelles de chaussures.
  • Garde-boue bien enveloppants et peints.
  • Des poignées ergonomiques vraiment appréciables.
  • La béquille qui donne confiance.
  • Feux avant et arrière à LED, qui se contrôlent via Kyox. L’écran affiche un pictogramme lorsque les feux sont allumés.

Je me suis baladée de nuit avec le vélo, afin de tester l’éclairage, puisqu’en ce début d’été, il fait déjà jour quand je vélotafe à 6h00 le matin.

L’éclairage est suffisamment puissant, y compris pour s’engager sur des chemins totalement obscurs.

Les options du VAE Electra VALE Go!

Vous pouvez acheter des sonnettes et des casques Electra qui se marieront parfaitement avec le vélo.

La fonction de verrouillage du moteur via le Kyox, est disponible sur abonnement auprès de Bosch, ce qui rend le vélo inutilisable si on le retire du cintre.

Ce que j’aimerais changer sur le VAE Electra VALE Go!

Le porte-bagage

Mais pourquoi cette géométrie avec le garde-boue qui dépasse sur le dessus?

Certes, la sobriété est recherchée au profit du design et de la discrétion, mais en sacrifiant la praticité indispensable à tout porte-bagage.

On ne peut rien attacher sur le dessus, si au détour d’une balade, on veut ramener une cagette de cerises avec un sandow, bah non on ne pourra pas…

Seules des sacoches peuvent être fixées sur les côtés, et encore je n’ai pas pu mettre les miennes, un peu trop longues vu le géométrie du porte-bagage.

L’attache rapide de la tige de selle

Elle devrait être remplacée par une attache à double vis, limitant ainsi le gros risque de vol.

Le dérailleur Shimano Alivio

C’est un modèle entrée de gamme, tout juste correcte… Un Shimano Deore eut été mieux et plus réactif. C’est le minimum de la gamme à laquelle on devrait s’attendre pour un vélo de ce prix. Même réflexion pour la manette Shimano Acera, très bas de gamme et peu durable.

Mon avis sur le VAE Electra VALE Go!

J’avoue, j’ai toujours eu un faible pour les vélos Electra et leur style californien. Le VALE Go! est une réelle bonne surprise pour ma part.

Je suis conquise, j’ai adoré rouler sur ce VAE durant les 350 km de routes urbaines et semi-urbaines où je l’ai testé.

Les +

  • Le look cruiser urbain qui rappelle le style californien de la marque, ainsi que sa classe et sa sobriété.
  • La qualité de fabrication et d’assemblage (passage de câbles interne).
  • Le choix du fabricant pour un système Bosch, silencieux et fluide, et qui rend ce vélo connecté avec le tout petit écran de bord Kiox.
  • Les poignées ergonomiques.
  • L’excellente autonomie.
  • Les fonctionnalités de l’application Bosch eConnect, le guidage avec Kiox, qui permettent de s’affranchir d’applications tierces payantes ou d’acheter un GPS.
  • La béquille robuste, adaptée au poids du VAE.
  • La tige de selle suspendue et les gros pneus qui procurent un excellent confort, alliés à la « Flat Foot Technology » .

Les –

  • Le dérailleur et les manettes bas de gamme.
  • Le porte-bagages pas suffisamment pratique.
  • L’attache rapide de la tige de selle, facilitant le vol de cet équipement.

Conclusion

C’est un véritable coup de cœur, j’ai littéralement craqué pour le VALE Go! . Certes, ce magnifique cruiser urbanisé n’a pas trouvé la plage sous les pavés parisiens, mais il m’a emmené partout où j’en avais besoin, tranquillement et confortablement. C’est un vélo indéniablement abouti qui s’adapte aussi bien à l’utile qu’à l’agréable.

Pédaler sur cet excellent VAE rend zen et donne envie d’avaler les kilomètres, j’ai eu beaucoup de mal à devoir le rendre à l’agence qui me l’avait confié en test. Je l’aurais bien emmené à Hossegor cet été avec moi.

Pour rouler avec classe, dans un confort absolu et avec une très grande autonomie, il faudra débourser 2999 euros. Mais ceci dit, ce VAE a de solides arguments pour convaincre d’y mettre le prix.

Enfin, sachez que Electra appartient à Trek, ce qui assure un réseau de distribution suffisamment déployé, pour gérer l’entretien et le SAV de ce sublime VAE.

Et vous mesdames, seriez-vous prêtes à rouler avec le style californien?

Photos: toutes les photos du VALE Go! by Vélizienne / Electra pour le Swing


Spécifications techniques du modèle 2020:

  • Coloris : matte indigo (bleu), Mahogany Metallic (maron), Fern Metallic (vert), Zinc (gris), Pearlized White (blanc)
  • Cadre : Aluminium 6061-T6 avec la Flat Foot Technology® brevetée
  • Pneus : Schwalbe Super Moto-X 27,5″ x 2,4″ avec une protection anti-crevaison Kevlar® et une bande réfléchissante
  • Jantes : Alliage, double paroi, 27,5″ x 32 trous

  • Dérailleur arrière : Shimano Alivio 9 vitesses
  • Manettes : Shimano Acera Rapid Fire Plus
  • Cintre : Courbure Custom en alliage
  • Freins : Freins à disque shydrauliques Tektro
  • Selle : Selle royal Essenza
  • Tige de selle : à suspension en alliage 27,2 x 400 mm, débattement de 40 mm
  • Poignées : Poignées Ergo Kraton personnalisées de l’Electra Vale avec colliers de serrage en alliage
  • Moteur : Bosch Active Line Plus, 250 watts
  • Batterie : Batterie Bosch PowerTube 500, avec chargeur 4 AMP inclus
  • Autonomie moyenne : 80km (jusqu’à 100 selon assistance)
  • Écran : Bosch Kiox

  • Composants complémentaires de série : Garde-boue peints, garde-chaîne peint, feux LED Spanning à l’avant et à l’arrière, porte-bagages avec panier à l’arrière, système de fixation avec bague de serrage, acheminement interne des câbles, béquille en alliage et visserie en acier inoxydable et anti-rouille

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