Portrait cycliste de Mélanie qui vit à Londres
Découvrez le portrait cycliste de Mélanie. Faites comme elle, remplissez le petit formulaire, joignez-y deux belles photos et le Média ELLES FONT DU VÉLO vous publie!
Quel est votre usage du vélo?
J’utilise mon vélo (de route, Cannondale R400) tous les jours, aussi bien pour aller faire mes courses, rencontrer des amis au parc ou aller au travail. Mais le week-end est le moment le plus important de la semaine, où j’effectue de balades à vélo entre 50 et 100 kilomètres.
Mon vélo me permet de m’éloigner de Londres, ville où j’habite depuis maintenant plus de trois ans, et de découvrir la campagne environnante. Au fil des kilomètres, je m’éloigne également de ma semaine de travail, il s’agit d’une rupture nécessaire dans ma vie.
Quel est ton meilleur souvenir à vélo?
Il y en a beaucoup, ce qui fait toute la magie du cyclisme. Mais je dirais que mon meilleur souvenir à vélo est mon tout premier « bike tour » de Londres à Paris pour me rendre dans le Massif Central. Entre ferry et trains, camping sauvage et canicule, ce n’était pas un voyage de tout repos mais j’en garde de très beaux souvenirs – et un bronzage presque indélébile…
Expliquez-nous votre plus grand défi à 2 roues?
Mon plus grand défi à vélo a probablement été le « Festive 500 », défi originellement lancé par la marque Rapha qui consiste à effectuer 500 kilomètres entre le 24 et le 31 décembre. Le temps britannique étant particulièrement imprévisible en hiver, ce fut une expérience éprouvante mais très gratifiante. J’en ai profité pour lever des fonds pour l’association Harrison’s Fund en faveur de la recherche pour soigner les patients atteints de la myopathie de Duchenne. Loin de ma famille pendant les fêtes à cause de la pandémie, ce défi sportif m’a permis de penser à autre chose et de prendre part aux fêtes de fin d’année à ma façon.
À vélo, vous ne partiriez jamais sans…
Quand il s’agit de longues randonnées, je ne pars jamais sans une chambre à air, mon GPS, mon portable bien chargé, une gourde d’eau et un flapjack (biscuit aux flocons d’avoine). Tous ces éléments sont essentiels et me permettent de ne pas me trouver en situation difficile au milieu d’une balade. Personne n’est à l’abri d’une crevaison ou d’une fringale !
Un conseil pour celles qui hésiteraient encore à pédaler?
Lancez-vous et découvrez votre région de la meilleure façon possible, seule ou accompagnée. Il est encore rare de croiser des femmes à vélo, ce que je déplore à chaque sortie. Mais quand j’en croise une ou plusieurs, nous nous saluons avec enthousiasme, et je ne peux m’empêcher de me réjouir et de penser « les routes nous appartiennent aussi ! »
Faites comme Mélanie, remplissez le petit formulaire-ci dessous, joignez-y deux belles photos et le Média ELLES FONT DU VÉLO publie votre portrait cycliste!