Quand vélo et médecine douce ne font qu’un
Si le vélo nous permet d’avoir les fesses plus fermes et de perdre un peu de poids, il joue aussi le rôle de thérapeute. Adhérons à la médecine douce!
Le vélo, une médecine douce?
Considéré comme une activité physique « douce », le vélo permet de booster nos défenses naturelles, tout en limitant les lésions musculaires et tendineuses. Explications.
À vélo, le poids de notre corps est réparti sur trois points d’appui: le guidon, la selle et les pédales. Le haut du corps, le bassin et les jambes sont donc posés sur des supports distincts, ce qui limite les chocs.
En outre, le geste que l’on adopte en pédalant étire naturellement nos jambes, tout en favorisant leur tonicité et la circulation sanguine. C’est donc là un excellent moyen de faire travailler le bas du corps en douceur.
Enfin, la pratique du vélo nous fait prendre l’air, ce qui permet de renforcer notre résistance aux petites affections courantes.
Vous aussi, vous pensez que le vélo est un véritable thérapeute?
Vincent
Il n’y a pas de « médecine douce » ou de « médecine dure » : il y a la médecine… et le charlatanisme.
Un peu de lecture pour les esprits curieux:
« Mind Over Matter: Debunking Alternative Medicines »
http://www.nytimes.com/2013/07/02/health/mind-over-matter-debunking-alternative-medicines.html