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Sandrine, les défis vélo dans la peau

Sandrine, les défis vélo dans la peau

Sandrine, les défis vélo dans la peau

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Rien n’arrête Sandrine: ni les rafales de vent, ni la neige… ni les rennes! En club, en solitaire, en vélotaf, en itinérance, elle aime les défis vélo!

« Le vélo, c’est source de dépassement de soi! »


J’utilise le vélo presque tous les jours: vélotaf 5 jours sur 7, c’est tellement plus sympa de commencer sa journée en pédalant. Même quand il pleut, je roule, le bus c’est long… Le week-end, je fais au moins une sortie de vélo de route avec mon club. Une fois par an, je fais un voyage vélo à sacoches d’au moins une semaine, et un voyage en vélo de route avec mon club. À chaque utilisation son vélo, j’en possède 4!


Je me souviens de mon premier vélo: il était bleu schtroumpf. Mon frère, ma sœur et moi avons tous appris à pédaler avec lui. Je ne sais pas si c’est mon meilleur souvenir, mais c’est mon premier souvenir d’enfance. Mes deux meilleurs souvenirs vélos sont assez récents. L’un est ma première rencontre avec un renne en Norvège en 2015. Après 8 heures de vélo assez exigeantes, je le vois surgir de nulle part! Un moment magique, il a même posé pour la photo. L’autre, lors de ma traversé des Alpes en juin, la montée du col de l’Iseran avec des chutes de neige dans les 3 derniers kilomètres! Un souvenir inédit, un mélange de souffrance à cause du froid et de joie d’y être tout de même parvenue.


Je me nourris de nouveaux défis, c’est source de dépassement de soi et ça rend le quotidien tellement moins monotone. Mon premier grand défi a été mon premier voyage vélo en solitaire en Islande en 2013. Je suis partie sans grande expérience de vélo pleine d’optimisme et de naïveté. Les pistes sableuses dans les hautes terres islandaises et les rafales de vent le long des côtes m’ont vite ramenée à la réalité. Lors de l’été 2015, j’ai parcouru près de 1000 km des Lofoten au Cap Nord en Norvège, des paysages grandioses et le plaisir de rouler à 4h du mat en pleine lumière. Parmi les futurs défis, je citerai, la traversée des Alpes de Genève à Trieste ou celle des Pyrénées.


Pour une sortie du dimanche: de l’eau, mon casque, mon coupe-vent, mon compteur (je suis perdue sans savoir ma vitesse ou le % de la pente), 5 euros, mon portable et de quoi changer ma chambre à air. Pour un voyage en itinérance: un stick à lèvres (les dégâts du soleil et du vent sont dévastateurs), une veste et un pantalon étanches (un vrai luxe!) et enfin un bon duvet et matelas pour bien récupérer les nuits.


Il existe tellement de types de vélos et de pratiques qu’il y en a forcément un qui vous conviendra. Lancez-vous des objectifs réguliers et facilement atteignables pour vous motiver davantage. Le vélo est un sport un peu maso, il y a toujours du plaisir mais parfois beaucoup de souffrance! Keep climbing!



Vous aussi vous êtes un(e) Bike addict? Contactez-nous et témoignez!

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