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Émeline, de l'échappée urbaine au cyclotourisme

Émeline, de l'échappée urbaine au cyclotourisme

Émeline, de l'échappée urbaine au cyclotourisme

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Émeline a appris à faire du vélo avec sa grand-mère. Elle pratique le vélo urbain, les sorties en tandem, le cyclotourisme. Découvrez son témoignage! 
« C’est beaucoup moins dangereux qu’on ne le croit, et c’est une excellente manière de récupérer la route, le contrôle de son corps, de ses déplacements. »
Émeline conjugue le vélo à tous les temps: balades urbaines, tandems nocturnes, échappées pluvieuses… Pour elle, le vélo est affaire de quotidien et de grandes aventures! Portrait d’une cycliste urbaine, cyclotouriste à ses heures, et passionnée avant tout…


Je l’utilise pour tout. Les voyages, les trajets quotidiens (en région parisienne), aller faire la récolte de fruits et légumes à la ferme du coin etc.


Oui. Ma grand-mère m’apprenait à rouler en ligne droite dans une rue près du cimetière… Ensuite, jeune ado, elles ont été limitées: trop de harcèlement divers sur la route…


Pas plus tard que ce week-end, 90 km dans les bourrasques de vent et la pluie pour aller visiter la Zélande et revenir à l’heure pour le TGV, dans un paysage surprenant, alliant développement industriel massif et petites routes de pavés glissants et boueux.
Des trajets en tandem semi-couché aussi, dans la nuit noire à travers la forêt.


La trousse à outils!
Un K-way pour les longues distance, et le masque anti-pollution pour les trajets urbains ou le long des grands axes.


C’est beaucoup moins dangereux qu’on ne le croit, et c’est une excellente manière de récupérer la route, le contrôle de son corps, de ses déplacements, l’espace public, et une autonomie dans les grandes villes.



Vous aussi vous êtes un(e) Bike addict? Envoyez-nous votre témoignage!

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