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Hélène, le vélo facile et pratique

Hélène, le vélo facile et pratique

Hélène, le vélo facile et pratique

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Le vélo facile et pratique, c’est le quotidien d’Hélène. Pour se déplacer en ville, elle ne compte que sur son deux-roues, sans prise de tête.

« Le vélo pour moi, c’est un moyen d’aller d’un point A à un point B, relativement rapide et fiable, sans se ruiner, et qui permet en plus une activité physique régulière. »
Hélène a le vélo facile et pratique. Pas besoin de beaucoup d’équipement pour se déplacer en ville. Tout est une question de liberté et de commodité. C’est une habitude qu’elle a prise à 6 ans… et qui ne la quitte plus depuis!


J’utilise mes vélos uniquement comme moyen de locomotion dans la vie de tous les jours (travail, courses, loisirs,…). Le vélo pour moi, ce n’est pas du sport, mais juste un moyen d’aller d’un point A à un point B, relativement rapide et fiable (l’heure de départ ne dépend que de nous, contrairement aux transports en commun), sans se ruiner, et qui permet en plus une activité physique régulière.


Mes premiers trajets à vélo datent de lorsque j’avais 6 ans et que j’ai appris à rouler à vélo à deux roues. Dès ce moment-là, j’ai commencé à explorer le quartier autour de ma maison à vélo, et c’était aussi l’occasion de faire les premières balades avec mon papa, un peu plus loin jusqu’au parc. Je me souviens avoir ainsi passé beaucoup de temps dehors à jouer avec mon petit frère.


Il y a maintenant près de 4 ans, j’habitais encore chez ma mère, à 7 km du centre-ville. N’ayant pas de voiture, j’étais dépendante des transports en commun (qui ne roulent chez moi plus après 19h30) et de ma maman. J’ai donc décidé d’acheter un VAE. Cela s’est passé au tout début de l’hiver, il faisait noir, et le premier défi a été de rouler à vélo la nuit pour faire les trajets entre le centre-ville et chez moi. Je pensais que ça allait être un gros problème car les vélos étaient encore rares dans ma ville à cette époque. Mais finalement, ça s’est encore mieux passé que lorsque je conduisais en plein jour car le nombre de voitures en rue était fort diminué. Maintenant, je trouve ça banal de rouler en pleine nuit, si on est bien équipé et bien visible, tout se passe bien.


Comme pour les autres moyens de transport: mon porte-feuille, mon gsm, un sac,… Mais en plus si on a un peu de matériel pour réparer un pneu crevé, c’est toujours mieux. Je crois que si on fait des petits trajets en ville pour se déplacer, il ne faut pas non plus trop réfléchir à ce qu’il faut prendre avec soi à vélo. Au pire, si on a un accident, on marche pour rentrer et on répare le vélo à la maison.


Il y a plusieurs choses auxquelles il faut penser: l’équipement pour éviter la pluie (cape, pantalon de pluie, sur-chaussures); si on n’a pas envie d’arriver trop en transpiration, on peut faire le trajet en vêtement de sport et puis se changer une fois arrivée sur place; une ou deux sacoches pour transport son matériel de travail et à manger pour midi. Pour celles qui ne seraient pas très sures de leur trajet, ça peut être utile d’essayer de le faire pendant le week-end quand il y a moins de monde sur la route, et de réfléchir au trajet qui sera le plus simple à vélo (pas forcément le même qu’en voiture). Éventuellement, il existe toujours une association locale de cycliste qui pourra donner des conseils avisés!



Vous aussi vous êtes un(e) Bike addict? <a href= »mailto:hello@ellesfontduvelo.com »>Contactez-nous</a> et témoignez!
 

Crédit photo : Sarah Mondrjak

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Commentaires (1)

  • Michelle Biet

    Toute jolie Hélène de Charleroi tout comme moi tu te dis non sportive juste pour aller du point A au point B
    Bizou et bonne journée Hélène

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