Train et vélo, une combinaison maline
Train et vélo, c’est la solution mobilité idéale. Vélo de randonée ou vélo pliant, tout est prévu pour les accueillir en toute sécurité et toute sérénité.
Le train est une bonne alternative à la voiture. Que vous l’empruntiez chaque jour pour vous rendre au boulot ou que vous l’utilisiez pour un petit trip, vous éviterez les embouteillages, le stress du trafic et les péages.
En voiture!
Mais une fois sorti du train, comment se déplacer si ce n’est qu’avec votre vélo favori. Qu’il soit pliable ou non, avec la SNCF, c’est possible!
- Dans le TER: c’est gratuit. Des emplacements sont prévus pour accrocher votre vélo et pas besoin qu’il soit pliant. Toutefois, vous ne serez pas seuls et les places disponibles sont parfois difficiles à trouver. S’il est pliant, c’est encore plus simple. Repliez-le et trouvez-lui une petite place où vous pourrez le surveiller et où il n’embêtera personne.
- En Intercité: l’avantage est au pliant. Dans sa housse, pas plus grande qu’une valise vous l’emporterez comme un bagage.
Pour un vélo de randonnée, non pliant, pas de problème! Un d’endroit est prévu pour l’ accueillir. Vous devrez toutefois réserver votre place lors de l’achat de votre ticket.
Et le TGV
Sous réservation, il est aussi possible d’emporter votre fidèle compagnon à deux roues dans un TGV. S’il rentre dans une valise rigide prévue pour cet usage, pas de problème, c’est gratuit. Sinon, il devra payer sa place, comme tout le monde (10€).
En Belgique
Si vous vous aventurez Outre-Quievrain, les chemins de fer belges appliquent d’autres règles.
Pour les vélos pliants, c’est sans supplément de prix. Vous l’embarquez dans votre wagon, lui trouvez une petite place discrète et c’est joué.
S’il n’est pas pliant, vous devrez payer un ticket vélo de 5€ pour 1 voyage ou 7€ pour le pass à la journée. Un wagon généralement en tête ou en fin de train est prévu pour y placer les vélos.
Alors, convaincu? Si vous ne l’êtes pas encore, expliquez-nous ce qui vous retient.
