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Suivre un circuit vélo c'est un peu comme une recette de cuisine

Un circuit vélo balisé cest un peu comme une recette de cuisine

Suivre un circuit vélo c'est un peu comme une recette de cuisine

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Un circuit vélo balisé, c’est comme une recette de cuisine… Y a ceux qui peuvent s’en écarter pour mieux s’en inspirer, et il y a les autres…  comme moi.
 

Un circuit vélo quand on n’a pas le sens de l’orientation?

Dans mon cas, les circuits vélo, c’est l’inverse de la cuisine. Je m’en sors très bien devant mes fourneaux, mais le topoguide ou la carte légendée, c’est un vrai calvaire
Mon mauvais sens de l’orientation me handicape beaucoup dans mes sorties vélo. Mais comme je n’aime pas rouler au hasard (parce que le risque de me perdre est encore beaucoup plus grand), je ne sors jamais sans avoir étudié et préparé mon parcours.
Pourtant, cela ne suffit pas: même équipée d’une carte, je suis parfaitement capable de m’égarer à plusieurs reprises en cours de chemin. J’ai donc dû prendre des mesures…

Bien équipée pour ne plus m’égarer

Il m’a fallu du temps avant de trouver la bonne méthode et les bons « outils ». Je ne suis pas certaine que c’est la meilleure façon de procéder, mais l’équipement que j’ai cadre parfaitement avec ma pratique actuelle. Pour rappel, je reprends le vélo depuis peu, et je ne veux pas faire d’éventuels investissements prématurés (lire: ou acheter du super matos qui finira dans le garage, couvert de poussière). Soit, passons au concret.

Ma recette pour ne pas rater un circuit vélo

La base de ma recette, c’est une connexion internet. Elle me permet de concevoir des circuits. J’utilise RoadBike Pro (Runtastic) pour ce faire, en général. Cela, c’est quand je ne trouve pas de site dédié qui répertorie des parcours balisés dans la région.
Mais quand je trouve une source qui me permet de sélectionner un roadmap ou de créer mon propre parcours à partir d’un réseau de routes et sentiers balisés, j’opère autrement. Surtout si le site en question propose une exportation des données au format gpx.

Non je n’ai pas de GPS vélo, mais…

Je n’ai pas encore de GPS vélo, mais j’ai un iPhone et une batterie externe (essentielle pour les sorties de plus de 4 heures). À partir d’un fichier gpx, mon smartphone devient un GPS. Moyennant téléchargement d’une application qui fera (à ma place) le travail de m’orienter. Car Roadbike Pro ne fournit pas cette fonctionnalité (à ma connaissance, mais vous l’aurez remarqué: je suis plutôt blonde)…
Autrement dit, sur le site en question, je peux construire mon parcours en fonction de mon état, du temps disponible que j’ai et de la difficulté du parcours. Et c’est là que ça devient important pour une handicapée de la boussole comme moi:

  1. J’exporte le circuit avec les balises et l’ajoute dans mon iTunes via le partage des fichiers
  2. J’ajoute le fichier gpx dans Gpx Navigator, qui me donnera la chemin à suivre pendant le circuit.
  3. J’ajoute le même fichier à Roadmap Pro, ce qui me permettra de calculer mes performances pendant ledit trajet.
  4. Je colle la liste des balises sur le cadre de mon vélo avec du papier collant (voir photo).
  5. J’imprime la carte générale que je glisse dans ma pochette, à côté de mon iPhone.

Pour nos amis cyclistes qui apprécient les parcours en Flandres, il y a Fietsroute.org, par exemple, qui permet très facilement de créer un circuit à partir de leur réseau de circuits vélo, d’imprimer les balises et la carte et d’exporter celles-ci au format gpx.

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Je suis la fondatrice et l’éditrice de ellesfontduvelo.com, et la cyclo-gimmick de la bande. 5 vélos (Bianchi, Canondale, Kona, Wilier et Brompton), mon coeur bat pour les braquets et le moulin. J’ai pratiqué beaucoup, un peu, passionnément. Ai procrastiné longtemps aussi. Et prépare un grand retour à mes premières amours: le vélo. Et plus particulièrement le vélo de route. Et le pliant. Et le weehoo pour mes enfants.

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Commentaires (1)

  • Intéressant Muriel, mais peut être un peu compliqué pour les blonds comme moi 😉
    J’ai adopté Komoot.de qui me permet de:
    – Charger des cartes régionales ou nationales dans la mémoire du smartphone (très utile à l’étranger pour ne pas faire exploser les frais de roaming).
    – Créer et enregistrer des itinéraires directement sur smartphone ou sur un desktop. L’appli calcule des itinéraires optimisés en fonction du type de vélo et de la condition physique du cycliste, tout en permettant des adaptations manuelles!
    – Profiter du guidage vocal (avec oreillette, c’est mieux) pour garder les yeux sur la route et économiser la batterie.
    – Mesurer ses performances comme le font la plupart des applis du genre.
    – Partager, commenter, noter ses tours, suivre ses amis…
    Bref, un petit bijou gratuit pour 1 seule région, 30 euros pour avoir accès à toutes les routes et chemins de la planète…

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